13 octobre 2012: Brame du cerf.

Après une montée dans un brouillard humide au possible (ceux qui connaissent l’Ariège savent de quoi je parle), je prends mon poste d’affût duquel je n’ai une visibilité supérieure à 50 que pendant une petite heure. Et tout le reste du temps, je me mouille! Un grand mâle courtise madame au loin mais le rideau tombe avant la fin du spectacle. A peine couché, une demi douzaine de cerfs viennent me passer à 20-30m en ne manquant pas de bramer tout ce qu’ils savent: normal, je suis sur un point stratégique. Mais il fait nuit et moi je préfèrerais dormir! “c’est pas fini ce bordel!”. L’un d’eux m’aboie si près que je fais un bon gigantesque dans mon duvet. ils auraient quand même pu passer une heure avant quand il faisait jour!

Par miracle, le ciel se dégage entièrement dans la nuit et évidemment il se met à geler.

Le lendemain matin, grand beau, mais rien. Pas un brame, une misère. Si, un couple traine un moment avant de prendre congé.

Un commentaire

  1. Alain
    17 octobre 2012

    Pas mal pour une misère …
    Je ne savais pas que tu parlais le cerf ! Enfin plus rien ne m’étonne depuis que tu passes plus de temps en montagne qu’à la ville !

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